Principes Généraux
Le partenariat doit être géré en cohérence avec l’approche menée au niveau des CEA à savoir :
- P4R (Programme for Result) pour le financement
- Excellence académique pour les programmes
- Spécialisation et complémentarité des centres, ce qui permettra une « carte des formations du CETIC ».
Phase préparatoire
Cette phase comporte les mêmes modalités et exigences que pour le niveau central :
- Conception/Aménagement puis validation des programmes en cohérence et en complémentarité avec ceux adoptés au niveau de l’ENSP
- Mise en place de la structure de gouvernance : point focal, comité de coordination, conseil pédagogique, désignation des responsables (coordonnateur associé, chercheur principal associé), ouverture des comptes, …
- Préparation de la feuille de route et du budget
- Mise à disposition des infrastructures (salles de cours, TD, TP ; bureaux pour enseignants missionnaires, …)
- Signature de la convention avec le niveau central
Mise à disposition des fonds de démarrage
Dans la phase d’exécution à l’année n
- Délégation par le niveau central et sur la base du budget, des fonds gagnés l’année n-1.
Socle académique commun pour le niveau central et les partenaires
Pour les partenaires nationaux et pour les partenaires internationaux qui le désirent, et afin de garantir une « culture commune » labellisée CETIC :
- le semestre 1 du Master 1 et la première année de doctorat pourraient être communs et se faire à Yaoundé ou à distance,
- les semestres de spécialisation en master et les autres semestres se faisant dans les institutions associées.
Cartographie des formations
D’ores et déjà on peut envisager, dans une perspective de complémentarité, une carte comportant entre autres les filières suivantes :
- Modélisation mathématique pour l’économie et la Finance à Douala,
- Bioinformatique à Nsukka,
- Systèmes d’aide à la décisionMaths de la Décision à Abomey Calavi,
- Intelligence Distribuée sur Infrastructures Dynamiques (IDID) à Ngaoundéré
Clé budgétaire pour l’appui aux formations
La même clé doit être utilisée pour tous. Par exemple, on peut considérer que la rémunération d’une heure d’enseignement est de 12 000 FCFA, un complément pouvant être payé sur ressources propres.
Ainsi par exemple on peut considérer qu’à Yaoundé, 12 000 FCFA sont payés en plus sur les droits universitaires. Cette souplesse amène chaque partenaire à faire la politique de ses moyens.
Ceci donne 3,6 millions FCFA par filière et par semestre. En ajoutant 1,4 millions de FCFA de frais de coordination, fonctionnement, recherche de stages, soutenance, missions de participation aux instances de gouvernance,…, on obtient 5 millions de FCFA par parcours et par semestre (déblocage semestriel).
Le CETIC qui est mis en oeuvre par le Gouvernement Camerounais et la Banque Mondiale, bénéficie d’un vaste réseau de partenariat non seulement avec les institutions d’enseignement supérieur et de recherche, mais aussi avec des organismes publics et des entreprises du secteur
privé.
Universités
EPFL, Burundi, Kinshasa, Ndjamena, Buea, Douala, Maroua, d’Abomey-Calvi, Parakou, Cheikh Anta Diop
Instituts de Recherche
Grandes Ecoles
ENS-Bretagne, ENSIMAG (Grenoble-France), ENSPT et ENSTP (Cameroun), ISMANS
Partenaires Sectoriels
CAMTEL, ANTIC, CCIM, GICAM, ITG-Store, CAD Skills Center